Les 4 lois du Grand Esprit:
- – La personne que tu rencontres est la bonne.
- – Ce qui arrive est la seule chose qui peut arriver.
- – Chaque moment où quelque chose commence est le bon moment.
- – Ce qui est fini est fini.
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[Texte généré automatiquement]
Coucou, c'est Janick de Parentalité au présent. Je suis présente. Je reviens à nouveau vers toi pour continuer sur le sujet de la présence que j'ai abordé dans mes deux premières vidéos que tu trouveras sur le site parentaliteau présent. Com. Aujourd'hui, j'ai envie de revenir sur le sujet des contrariétés que la vie nous amène. Je pense que tout comme moi, tu as certainement des gens dans ton entourage, que ça soit l'entourage familier, que ça soit l'entourage professionnel, que ce soit l'entourage... Peu importe, que la vie décide de te mettre sur ta route. P our moi, tous ces gens qu'on rencontre, toutes ces situations qu'on rencontre, ce ne sont en tout cas pas des situations qui nous sont amenées au hasard. Quand j'ai compris que, et ça, je t'en parlais la dernière fois, il est possible de prendre conscience des réactions qui sont automatiques par rapport aux événements que je peux vivre. À ce moment là, je peux donner des réponses conscientes. Donc, j'ai vraiment compris au fil des ans que toutes les situations qui m'ont été offertes ont vraiment été là sur ma route pour me faire grandir. Et en fait, la condition pour pouvoir grandir, c'est quoi ?
C'est d'arriver à accepter ce qui est. Accepter ce qui est et puis surtout savoir que tu as le pouvoir de changer des choses, certaines choses. Vraiment, quand je suis capable de me dire « OK, ça c'est. » et là, je ne vais pas pouvoir changer ce qui est. Mais par contre, la chose que je vais pouvoir changer, c'est ma réaction face à ce qui m'arrive. Et là, j'ai mon pouvoir. Là, il y a du potentiel. Et quand je commence à faire cette prise de conscience là, c'est là que je peux commencer à avoir ce recul dont je te parlais la dernière fois, que je vais pouvoir commencer à pouvoir respirer différemment dans ce qui m'arrive et pouvoir commencer à me demander qu'est ce qui est important pour moi et qu'est ce que je veux dans cette situation et qu'est ce que je fais ? Qu'est ce que je vais faire ? Quels petits pas est ce que je vais pouvoir faire pour avancer et pour pouvoir grandir au travers de ce qui m'arrive ? Dans ma pratique professionnelle, évidemment que je rencontre beaucoup de gens qui sont en conflit et très souvent des gens qui ne sont pas d'accord par rapport à ce qui leur arrive dans les cas de séparation, de divorce.
C'est régulièrement qu'il y en a un des deux qui n'est pas autant avancé dans le processus de deuil et qui est encore très en colère ou très réactif par rapport à ce qui se passe, ce qui est en train d'arriver. Et force est de constater que parfois, on est obligé de se prendre la porte en pleine figure. Là, je cause de séparation, divorce, mais ça peut être toutes les situations que nous rencontrons dans notre vie. Parfois, je suis obligée de m'attraper une porte en pleine figure pour que je sois arrêtée peut être et que je commence vraiment à prendre conscience qu'il y a quelque chose qui cloche dans ma vie. Et très souvent, les autres sont là pour jouer ce rôle. Dernièrement, j'ai entendu une personne qui parlait des quatre lois spirituelles du grand esprit amérindien et j'ai vraiment beaucoup aimé ces quatre lois parce qu'elles rappellent les fondamentaux qui nous permettent de vivre sereinement, finalement, notre passage sur cette terre. La première des lois, c'est « La personne que tu rencontres est la bonne. » Parfois, on aurait l'impression qu'on se serait passé de rencontrer certaines personnes parce qu' on va vivre des choses plutôt désagréables au contact de celles ci.
Fondamentalement, si je vis des choses désagréables, c'est que cette personne est en train de réveiller quelque chose chez moi que j'ai à travailler. Et quand j'arrive à me dire « OK, à prendre ce recul, à faire ce pas en arrière », que j'arrive à sortir des reproches, à sortir des jugements et puis à descendre dans mon cœur et vraiment à me remettre à respirer. Parce que très souvent, quand je suis énervée et quand je suis très dans ma tête, je ne respire plus. Donc quand je commence à respirer, à me reconnecter à mon cœur, que je fais ce pas de recul, parfois, ça peut être avec l'aide de quelqu'un qui nous aide à justement avoir le positif de la situation. Je vais me rendre compte que cette personne était vraiment la meilleure personne pour m'aider à grandir. Et ça, c'est dans le meilleur des cas quand j'ai pu faire le travail nécessaire de compréhension, d'acceptation et quand j'ai pu commencer à mettre des changements en route chez moi. Ça, c'était la dernière fois dans la vidéo où j'expliquais vraiment ce cercle qu'il y a entre un événement qui se passe, la réaction que je vais avoir par rapport à l'événement qui va générer une certaine énergie et qui va reboucler sur un événement en lien avec l'énergie générée.
Quand j'arrive à changer mon énergie, les situations que je vais vivre changent, se transforment. Et puis, très, très souvent, les problèmes que j'avais avec certaines personnes, je n'en ai plus, soit parce que la situation est réglée, soit parce que je n'ai plus de lien avec cette personne, parce que j'ai fait les compréhensions, j'ai compris ce que j'avais à comprendre et en fait, je n'ai plus besoin d'aller me confronter à ces difficultés, soit que tous les deux dans la relation, on a pu faire suffisamment de prise de conscience pour que la relation se transforme. Donc, d'intégrer cette première loi qui est la personne que tu rencontres est la bonne, ça va me mettre sur le chemin de la gratitude, petit à petit, d'arriver à dire « OK, je ne comprends pas tout, mais merci. Je sais que je vais pouvoir grandir au travers de ce que je suis en train de vivre avec cette personne. » Quand je dis ça, ça ne veut pas dire qu'il faut tout se laisser faire, que c'est juste acceptation et puis qu'on n'a pas à prendre position. Ce n'est pas ça que je suis en train de dire. Je suis vraiment en train de dire de prendre du recul pour essayer de comprendre, OK, qu'est ce que j'ai à comprendre dans la situation que je vis avec cette personne actuellement.
La deuxième loi, c'est ce qui arrive est la seule chose qui peut arriver. Ça rejoint ce que je viens de dire juste avant. Ce que tu vis avec cette personne là, c'est la seule chose qui peut arriver. Pourquoi ? Parce que ce que tu es en train de vivre avec cette personne, c'est tout simplement en corrélation avec l'énergie, avec la vibration que tu génères. C'est comme si la vie, elle te donne exactement le feedback de ce que tu vis à l'intérieur de toi. Tu as exactement sur l'écran de la vie projeté ce que tu ce que tu as encore à travailler. Et en fait, on sait qu' on est sorti de ce cercle quand on arrive à plus réagir aux événements qui se passent. Alors, nous sommes des êtres humains. C'est clair que tous les jours, nous ne sommes pas égaux, je pense. Nous ne sommes pas non plus égaux face à toutes les personnes. Et cette réaction qui arrive, petit à petit, les prises de conscience que je vais faire, petit à petit, la conscience qui s'affine au fur et à mesure que j'ai cette volonté, cet objectif de travailler sur ma présence, va faire que je vais avoir de plus en plus de recul à nouveau.
Je l'ai déjà dit juste avant, mais c'est ce recul qui va être vraiment essentiel pour pouvoir observer et pour pouvoir arriver à me dire « Bon, OK, merci. »ce qui arrive là maintenant, c'était la seule chose qui pouvait arriver. De toute façon, est ce que tu as le choix ? Si tu as le choix, alors très bien, mais en route les changements qui vont faire que tu sors de cette chose qui arrive là maintenant. Et si tu vois que tu n'as pas le choix que de vivre ce que tu as à vivre, alors le seul pouvoir que tu vas avoir, c'est de changer ton rapport à cette chose qui arrive. Dans la vie, peu importe ce qui se passe, ça va toujours être ce rapport là, ces réflexions là et ces prises de conscience là qui vont nous être demandés. Donc, je répète, la première loi, c'est la personne que tu rencontres est toujours la bonne personne. La deuxième, ce qui arrive est la seule chose qui peut arriver. La troisième loi, chaque moment où quelque chose commence est le bon moment. Un peu, si t'es comme moi, impatient, impatiente, il y a souvent où j'ai pu m'agacer, m'énerver, que les choses n'aillent pas aussi vite que j'aimerais.
Et maintenant, avec le recul, quand j'observe peut être les années de difficultés que j'ai eu à traverser, je peux observer combien la vie a été parfaite. J'observe aujourd'hui avec recul comment se sont enchaînés les divers événements et combien les pièces du PULS étaient juste magnifiquement ajustées et magnifiquement instrumentées par la vie. Et tout, finalement, s'est placé de manière à ce que parce que finalement, toutes les choses que j'ai pu vivre, quand j'ai accepté que c'était la seule chose qui pouvait arriver et que, de toute façon, la personne que je rencontrais était la bonne, c'est là que le tableau, ça peut vraiment se détendre. Parce que jusqu'à ce qu'on arrive à se détendre, c'est un petit peu comme si on essaye de mettre une pièce de peintre punz qui n'est pas la bonne pièce. Tu sais bien que tu peux prendre même un marteau pour taper dessus. À part casser le punz, tu ne vas pas arriver à quelque chose de positif. Donc, chaque moment où quelque chose commence est le bon moment. Parfois, on ne comprend vraiment pas pourquoi ça prend tant de temps, pourquoi est ce qu'on est encore à vivre ça ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Tant qu'on est dans ces questionnements, qu'on est dans notre tête, qu'on est dans ce bruit qui va nous faire remettre en question ce qui s'est passé ou qui va nous mettre des peurs par rapport à ce qui pourrait arriver, je ne vais pas connaître la paix, parce que je sors de la présence, tout simplement.
Et puis, la dernière loi, la quatrième, c'est « Ce qui est fini est fini. » Là aussi, si tu observes dans ta vie, qu'est ce qui se passe quand quelque chose se termine pour toi ? Moi, je sais que je passe tout le temps par des périodes de turbulence. Quand je sens qu'il y a des chapitres qui sont en train de se tourner ou des livres qui sont en train de se fermer, je sais que régulièrement, j'ai besoin d'aide pour m'apaiser, que ça soit de l'aide de thérapeutes ou de personnes vers qui je vais aller chercher ou j'ai besoin d'aide aussi. Moi, j'aime vraiment tendre les mains au ciel et dire « C'est trop lourd pour moi. Et puis, j'ai vraiment besoin d'aide et je demande de l'aide plus haut. Et je t'invite à essayer parce que les Québécois diraient ça vaut la joie. Ça vaut la joie. » ça vaut vraiment la joie de faire cette expérience. Et ce n'est que dans la présence de l'instant, quand j'ai conscience que ce qui est fini est fini et que mon seul pouvoir, le seul pouvoir que je vais avoir, c'est de changer mon état d'esprit par rapport à ce qui est fini.
C'est d'essayer d'aller ressentir la gratitude pour ce qui a été plutôt que de pleurer sur ce qui n'est plus. Et c'est à ce moment là que je vais avoir toute la force nécessaire pour pouvoir construire et pour pouvoir recommencer un nouveau chapitre ou pour pouvoir grandir et croître avec le terreau fertile que toutes les expériences vécues jusqu'à présent m'auront offert. J'ai toujours émerveillé quand je prends l'image du compost. Tu vois, tu prends l'image de ton compost où tu vas aller mettre tes légumes, enfin voilà, tous les déchets végétaux que tu as. Et puis, quelques mois plus tard, ce compost se sera transformé en téro fertile. Et en fait, la vie, c'est ça. Est ce que je vais continuer à rester crochée sur quelque chose qui ne sent pas bon ? Est ce que je vais me dire « Oui, mais de toute façon, le compost, ça pue. » Oui, effectivement, le compost, s'il est mal fait, il peut sentir très mauvais. S'il est bien fait, paraît il qu'il ne dégage pratiquement pas d'odeur. Le compost, ça chauffe. Ça aussi, j'ai pu le constater dans ma vie. Les plus grandes traversées de souffrance que j'ai pu vivre, j'ai senti une brûlure tellement forte à l'intérieur de moi.
Et aujourd'hui, je sais que la brûlure que j'ai pu ressentir il y a quelques années, c'est le terreau le plus fertile que je connaisse dans mon ventre. Parce que je pense qu' à la hauteur de cette brûlure qui était en lien avec un amour, en fait, c'est quand on m'a annoncé que mon papa allait mourir, que j'ai senti cette brûlure où j'ai cru que j'allais moi aussi mourir. C'était tellement violent à l'intérieur de moi. Et aujourd'hui, je peux te... Tu vois, d'ailleurs, j'ai l'émotion qui arrive. Je peux vraiment t'affirmer qu'à la hauteur dont j'ai ressenti cette brûlure, à la hauteur... Là, c'est des larmes de gratitude qui montent. Je peux ressentir de l'amour et de la gratitude par rapport à tout ce qui a pu se passer dans ma vie. Voilà. Donc, je t'invite, durant ce mois, à réfléchir à ces quatre questions. Je vais mettre en route un groupe à partir du mois de septembre en présentiel dans mon bureau à Martigny, un petit groupe que je vais accompagner une fois par mois. Ça sera a priori le samedi matin pendant deux heures à deux heures et demie. Et puis, avec ce groupe, j'ai vraiment envie de cheminer sur le thème de la présence avec divers exercices que je vais pouvoir offrir.
La puissance du groupe est juste magnifique. Et le fait de cheminer ensemble durant toute l'année scolaire, donc de septembre à juin, une fois par mois, ça permet vraiment de donner un ancrage et de donner une force intérieure qui va vraiment être porteuse pour t'aider, si ça t'intéresse, à traverser tout ce que tu as aujourd'hui du mal à traverser. Si tu as envie de plus d'informations, n'hésite pas à me contacter. Le programme suivra sous peu tout à l'heure. Toute la description suivra et les informations aussi, mais c'est déjà possible de s'inscrire si tel est ton envie et ton élan. Voilà, je te remercie de m'avoir écoutée. Je te souhaite un très bon mois. Dans un mois, je serai en plein déménagement de mon bureau. J'aurai un tout nouveau bureau avec une toute nouvelle énergie et plein de lumière pour vous accueillir et je m'en réjouis beaucoup, beaucoup, beaucoup. Voilà, tout à l'heure. Ciao, à bientôt et merci.